Outlast est un jeu vidéo d’horreur développé par Red Barrels. Dans le jeu, les joueurs incarnent un journaliste qui doit enquêter sur une institution psychiatrique abandonnée, le Mount Massive Asylum. Le jeu se déroule dans une perspective à la première personne, où les joueurs utilisent leur caméra pour capturer des preuves et résoudre des énigmes.

Le jeu comporte des éléments d’horreur et de peur qui peuvent ne pas convenir à tous les joueurs. Les joueurs doivent être prêts à faire face à des situations stressantes, comme l’obscurité, les bruits effrayants et les attaques de personnages effrayants.

Les joueurs doivent également faire preuve de stratégie et de discrétion pour éviter les ennemis et progresser dans le jeu. Les joueurs peuvent se cacher, courir ou utiliser leur caméra pour éclairer les environnements obscurs.

Outlast est un jeu d’horreur intense qui peut ne pas convenir à tous les joueurs. Les parents devraient prendre en compte l’âge et la maturité de leur enfant avant de permettre de jouer à ce jeu. Le jeu peut être un excellent moyen de développer la capacité de résolution de problèmes et la pensée stratégique, mais il peut également causer du stress et de l’anxiété. Les parents doivent également être conscients que le jeu comporte des éléments de violence et de sang.

En résumé, Outlast est un jeu vidéo d’horreur où les joueurs incarnent un journaliste qui enquête sur une institution psychiatrique abandonnée. Le jeu comporte des éléments d’horreur et de peur qui peuvent ne pas convenir à tous les joueurs, ainsi que des éléments de stratégie et de discrétion pour éviter les ennemis. Les parents doivent prendre en compte l’âge et la maturité de leur enfant avant de permettre de jouer à ce jeu, car il peut causer du stress et de l’anxiété et comporte des éléments de violence et de sang.

Source de la configuration recommandée pour Outlast 2

Outlast est un jeu vidéo d’horreur qui nécessite une configuration informatique appropriée pour fonctionner correctement. Les joueurs qui souhaitent jouer à Outlast sur leur ordinateur doivent s’assurer que leur système répond aux exigences minimales recommandées par le développeur pour profiter d’une expérience de jeu fluide.

Le processeur est l’une des composantes les plus importantes pour faire tourner le jeu. Le jeu nécessite au moins un processeur Intel Core i3-530 ou AMD Phenom II X4 810 pour fonctionner correctement. Un processeur plus puissant, comme un Intel Core i5-4670K ou AMD FX-8350, peut offrir une expérience de jeu plus fluide.

La carte graphique est également importante pour faire tourner le jeu. Le jeu nécessite au moins une carte graphique NVIDIA GeForce GTX 460 ou AMD Radeon HD 6850 pour fonctionner. Cependant, pour une expérience de jeu optimale, une carte graphique plus puissante, comme une NVIDIA GeForce GTX 660 ou AMD Radeon R9 270, est recommandée.

La mémoire vive (RAM) est également importante pour faire tourner le jeu. Le jeu nécessite au moins 4 Go de RAM, mais 8 Go de RAM sont recommandés pour une expérience de jeu plus fluide.

Enfin, le jeu nécessite également de l’espace de stockage sur le disque dur pour l’installation et les fichiers de sauvegarde. Le jeu nécessite au moins 5 Go d’espace libre sur le disque dur.

Le jeu d’essai et d’erreur qui se traduit par un sentiment d’impuissance et de frustration empêche ce jeu de survie d’atteindre son plein potentiel. Outlast II s’efforce de créer un sentiment de terreur et de mort imminente en limitant votre vision dans le noir d’encre de ses paysages nocturnes et en refusant obstinément de laisser Blake se défendre contre ses agresseurs, même lorsque des armes potentielles se trouvent tout autour de lui. Et bien que ses thèmes chrétiens profondément déformés ne soient pas susceptibles d’avoir un impact très profond sur les joueurs non religieux, ceux qui ont une forte culture chrétienne sentiront certainement leur peau commencer à ramper en écoutant les monologues glaçants et abominables des adeptes de la secte et en lisant leurs notes et leurs lettres dérangées. Tout cela a pour but de créer un sentiment de tension et de malaise chez les joueurs, et cela fonctionne plutôt bien – sauf quand cela est saboté par la façon dont le jeu gère les rencontres.

Le fait de ne pas pouvoir voir entièrement le monde rend l’exploration plus difficile (et souvent plus effrayante), mais cela empêche également d’éviter une fin macabre. La plupart des rencontres se font par tâtonnement, le joueur étant contraint de se frayer un chemin dans un environnement dangereux peuplé d’ennemis tout en cherchant un moyen de progresser ou de s’échapper – et mourant généralement plusieurs fois au cours du processus parce qu’il ne peut pas voir (ou parfois entendre) correctement les ennemis ou se défendre une fois qu’il a été repéré. À chaque mort atroce, l’action devient moins intense et plus frustrante ; elle finit par être moins immersive et plus un exercice pour comprendre où les concepteurs veulent que le joueur aille. Les mécanismes forcés – comme les piles jetables nécessaires pour alimenter la vision nocturne de votre caméra qui durent moins longtemps qu’il n’en faut pour lire cette critique (oui, c’est ce genre de jeu) – servent à augmenter notre aggravation plutôt qu’à accroître notre peur. Outlast II est indéniablement choquant, gore, blasphématoire et parfois terrifiant, mais il finit par tricher pour atteindre la plupart de ces objectifs. Les joueurs apprécient les défis, mais ils ont aussi une conscience aiguë de ce qui est juste. Et ils ne trouveront pas beaucoup d’équité dans Outlast II.